Ouzbékistan
Circuits sur mesure
Une célébration de la beauté, de l’histoire, des paysages et de son peuple si accueillant.
Une terre ancestrale qui rend le reste du monde, nous osons l’écrire, un peu terne.
Voyager en Ouzbékistan, c’est vivre ces villes caravanières de la Route de la Soie... et être accueillie par son peuple; « Là où le visiteur est aussi honorable que ton père » disent-ils.
C'est le carrefour des civilisations d’Alexandre le Grand en passant par ceux de Gengis Khan et Tamerlan. Le carrefour des modes de vie, entre les tribus nomades et quelques-unes des plus anciennes cités sédentaires du monde. Le carrefour des religions, avec ses influences bouddhistes, chrétiennes et musulmanes, et enfin un carrefour culturel, qui se découvre tout au long de la mythique route de la soie qui reliait la Chine à l'Europe.
Vous verrez des villes dont l’histoire est tout droit sortie du Moyen-âge. Des cités bleues au nom évocateur comme Samarcande, Khiva et Boukhara. Tellement bien préservées, qu’elles nous font tout de suite faire un voyage au temps de Marco Polo.
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Tashkent
Tashkent, capitale de l’Ouzbékistan. Une des plus anciennes étapes sur la route de la soie qui ne semble guère mériter plus qu’une petite journée. Pourtant, Tashkent est une ville qui, à la longue, se laisse apprivoiser et se révèle très agréable à visiter.
Il faut absolument aller et manger au Bazar Chorsu. Ce nom signifie les « quatre chemins ». Ce bazar construit après le tremblement de terre de 1966, accueille des producteurs de produits locaux de tout le pays comme les fruits secs, les épices et les condiments qui servent à confectionner les recettes ancestrales.
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Khiva
Une ville fascinante avec plus de 2500 ans d’histoire. La contemplation de l’architecture de Khiva est un véritable voyage dans le temps. Jusqu’au XVIIe siècle, cette ville n’avait aucune puissance économique ou militaire. C’est sa particularité, d’avoir été ainsi figée dans le temps sans subir de modification majeure.
A l’intérieur de la vieille ville moyennageuse, ne manquez pas le magnifique palais de Tash Khauli qui a été construit de 1831 à 1841 et qui fut la résidence du Khan de Khiva. A l’époque, le palais comprenait un harem organisé autour d’une cour intérieure bordée d’appartements d’été et d’hiver pour le Khan et ses 4 femmes. Les appartements sont tous conçus selon la même architecture : un haut iwan ouvert en direction du nord-ouest, pour l’été et une pièce attenante pour les mois d’hiver. L’ensemble a été décoré de majolique bleue et blanche d’Abdoullah Djinn. Les plafonds en bois sont décorés de motifs jaunes et rouges. Une pure merveille.
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Boukhara
Boukhara est une ville avec une très longue histoire. C’était, à l’époque médiévale, une étape incontournable sur la route de la soie reliant l’Orient et l’Occident, ainsi qu’un centre important pour la théologie. Aujourd’hui, la ville est restée pratiquement intacte. Bâtis pour la plupart entre le IXe et le XVIIe siècle, les mosquées, médersas, bazars et caravansérails sont magnifiquement bien préservés.
Visiteurs, écrivais, historiens, tous sont d’accord : Boukhara la sainte, Boukhara la noble, la Beauté de l’esprit, la plus secrète des cités caravanières, la plus préservée des villes figées d’Orient. Boukhara est aujourd’hui la cinquième ville sainte de l’islam après La Mecque, Médine, Jérusalem et Hébron.
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Samarcande
Miroir du monde, jardin de l’âme, joyau de l’islam, perle de l’Orient, centre de l’univers, Samarcande. Ce lieu, de tout temps, ne cesse d’éblouir le voyageur. La cité des grandes ombres est au cœur de toute l’histoire de l’Asie centrale.
A visiter absolument, le cœur battant de la ville, le Reghistan. Restauré dans toute sa splendeur originelle, le complexe le plus grandiose d’Asie centrale, le Reghistan, la « place de sable », servait à l’époque aux châtiments corporels et aux exécutions publiques. C’est ici que le pouvoir était concentré, dans la prison, l’Hôtel des Monnaies et le palais de l’Émir. Ce n’est qu’en 1920 que fut détrôné le dernier émir, et que la place perdit son utilité originelle.
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Les steppes Ouzbek
Un voyage en Ouzbékistan ne peut être complet sans avoir vu la campagne, les montagnes et la steppe. Sur la route en partance de Boukhara ou de Samarcande, la route se perd au milieu des paysages et des plaines à perte de vue. Au loin, des fermes avec leurs bergers qui veillent sur leurs immenses troupeaux de brebis, au cœur d’un silence profond.
Dans la steppe et autour du lac Aydarkoul, il est possible de dormir chez l’habitant dans des fermes traditionnelles ou dans des yourtes, où vous pourrez expérimenter la légendaire hospitalité des familles Ouzbek. Vous serez reçu comme des membres de leur famille, avec les repas typiques fait maison et un lieu confortable pour dormir.Dans un décor proche du rêve, la nuit dans une yourte est une expérience qu’il ne faut pas manquer. Vous mangerez sur place et un musicien viendra chanter des chansons d’amour autour du feu, qui meubleront vos rêves dans cet espace de désert.
Tout ici est abondance. Nourriture, sourires, échanges et danses locales.
Vous êtes au cœur, encore une fois, d’un monde inimaginable. -
Extension au Kirghistan
Les meilleures périodes pour partir : Au printemps et à l’automne ! Avril, Mai, Septembre, Octobre.
L’Ouzbékistan est un pays sec. Le mois de Mars est le plus arrosé mais on ne parle pas de mousson. Il peut pleuvoir en moyenne 8 jours au mois de Mars, mais la pluie dure rarement plus de 3 à 5 heures. Par contre, Mars est le mois des fêtes et des festivals ! On doit donc le considéré comme une période très intéressante.
Janvier : Non recommandé (hiver froid)
Février : Non recommandé (hiver froid)
Mars : RECOMMANDÉ (début du printemps et période des festivals)
Avril : RECOMMANDÉ
Mai : RECOMMANDÉ
Juin : RECOMMANDÉ (début des grandes chaleurs)
Juillet : RECOMMANDÉ (grandes chaleurs, 35-40 degré le jour, très sec)
Août : RECOMMANDÉ (grandes chaleurs, 35-40 degré le jour, très sec)
Septembre : RECOMMANDÉ
Octobre : RECOMMANDÉ
Novembre : RECOMMANDÉ (journées fraîches et nuits froides)
Décembre : Non recommandé (hiver froid)
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